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Molluscs, sediment lithology, and published sub-bottom profiles are used to deduce sea levels, outline the influence of glacially induced crustal displacement, and reconstruct the paleoenvironment of the northeast Pacific late Quaternary coastline. Geo-spatial modelling shows subaerially exposed land that could have been inhabited by plants and animals, and also coastally migrating early North American peoples. Ice-free terrain, present by at least 13 790 ± 150 14 C years BP, a land bridge, and edible molluscs are identified. Queen Charlotte Islands (QCI) late Pleistocene coastal paleogeography may assist in explaining the biogeography of many terrestrial plant and animal species along the broader northeastern Pacific margin and provide evidence for researchers seeking late Pleistocene -early Holocene glacial refugia. Late Pleistocene -early Holocene coastlines that are not drowned and that may harbour early archaeological sites are identified along the western QCI, where migrants probably first travelled and the westernmost British Columbia mainland, where the effects of glacial ice were reduced.Résumé : Des mollusques, la lithologie des sédiments et des profils publiés du sous-sol du fond sont utilisés pour déduire les niveaux de la mer, définir l'influence des déplacements de la croûte causés par la glace et reconstruire le paléoenvironnement de la côte nord-est du Pacifique au Quaternaire tardif. Des modèles géospaciaux montrent des terres subaériennes exposées qui auraient pu être habitées par des plantes et des animaux ainsi que par des peuples nord-américains primitifs qui migraient sur la côte. Des terrains libres de glace, présents depuis au moins 13 790 ± 150 14 C années avant notre ère, un pont terrestre et des mollusques comestibles sont identifiés. La paléogéographie de la côte des îles de la Reine Charlotte au Pléistocène tardif peut aider à expliquer la biogéographie de plusieurs espèces de plantes et d'animaux terrestres le long de la marge étendue du Pacifique nord-est et fournir des évidences pour les chercheurs qui recherchent des refuges glaciaires au Pléistocène tardif -Holocène précoce. Les côtes du Pléistocène tardif -Holocène précoce qui ne sont pas inondées et qui pourraient contenir des sites archéologiques anciens sont identifiés le long des îles de la Reine Charlotte occidentales, vers lesquelles des peuples migrateurs ont probablement tout d'abord voyagé, et sur la partie continentale la plus à l'ouest de la Colombie-Britannique, où les effets de la glace de l'ère glaciaire étaient moindres.[Traduit par la Rédaction] Hetherington et al. 1766

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