This paper is devoted to associative anaphora and possessive anaphora with two kinds of nouns. One is meronyms, where a noun denotes a concept that is a part of another as in trunk/tree. The other is what I call "functionally localized" nouns, such as church with respect to village, where the latter denotes a concept that normally implies the existence of the concept denoted by the former : see Kleiber (2001). We first evoke the referential properties of these two kinds of anaphora. The properties of the possessive determiner are then discussed in order to explain its occasional incompatibility with meronyms or functionally localized nouns. Finally, we elucidate the consequences for the choice between associative and possessive anaphora upon textual coherence relations, in particular Claim-Evidence (Cornish, 2009a, b) and Explanation.Mots-clés : Associative anaphora, possessive anaphora, meronymy, locative relations, coherence relations Les cas de concurrence entre anaphore associative et anaphore possessive, en particulier lorsqu'il s'agit de décrire des objets, des lieux ou des humains, sont assez nombreux. Même pour décrire et énumérer les parties du corps d'un individu, le possessif est loin d'être la règle, contrairement à ce qu'on est tenté de croire 2 , et le défini associatif est fréquemment choisi pour produire des effets spectaculaires (au sens propre du terme). Parmi les catégories d'anaphores associatives distinguées par Kleiber (2001), seule la relation actancielle (e.g. un meurtre… le meurtrier) exclut l'anaphore possessive (un meurtre… *son meurtrier). Les autres types d'anaphores -méronymiques (un tilleul… le tronc), locatives (un village… l'église), fonctionnelles (une voiture… le conducteur) et collectives (une flotte… les bateaux) -acceptent toutes, a priori, une telle substitution (un tilleul… son tronc ; un village… son église ; une voiture… son conducteur ; une flotte… ses bateaux). On pourrait aussi évoquer, bien qu'elle soit plus restreinte, l'alternance possible