Caroline Blondy, Les territoires touristiques polynésiens. Une lecture géographique de la participation de la société locale au système touristique

Abstract

Mondes du tourisme est mis à disposition selon les termes de la licence Creative Commons Attribution-Pas d'Utilisation Commerciale-Pas de Modification 4.0 International. RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES Nathalie BERNARDIE-TAHIR, "Quand les touristes rencontrent les habitants : territoires et lieux communs dans la ville de Zanzibar", dans Philippe DUHAMEL et Rémy KNAFOU (dir.), Mondes urbains du tourisme, Belin, 2007. Gilles BLANCHET, Les petites et moyennes entreprises polynésiennes : le cas de la petite hôtellerie,

(Re)venir vivre dans une île polynésienne : vers un nouveau paradigme mobilitaire ? L’exemple de Rurutu (Australes)

“…Alors qu'en France métropolitaine 16 % de la population vit en dessous du seuil de pauvreté, ce pourcentage monte à 26 % en Polynésie et à 32 % aux Australes 3 . L'économie de Rurutu repose principalement sur l'agriculture, la pêche, l'artisanat et le tourisme, même si celui-ci reste relativement modeste (Malogne-Fer & Fer, 2004 ;Blondy, 2010). Dans ce domaine, l'île s'inscrit dans cette « Polynésie de l'aventure » décrite par J.-C.…”

Rapid localized decline of a French Polynesian coral reef following a climatic irregularity

“…Often called the 'Pearl of the Pacific', Bora-Bora is a major international tourist destination with the local economy dependent on the tourism and service industry (Lepresle, 2017). Bora-Bora has long featured prominently in advertising for French Polynesia as a whole, due to both its aesthetic charms as well as its commitment to environmental protection (Blondy, 2010;Lepresle, 2017). For instance, Bora-Bora is the only French Polynesian location to have received an international Blue Flag certification since 1999, a well-known international ecotourism label identifying exemplary environmental quality (Lepresle, 2017).…”