To cite this version:Igor Drobyshev, Mats Niklasson, Hans Linderson, Kerstin Sonesson, Matts Karlsson, et al.. Lifespan and mortality of old oaks -combining empirical and modelling approaches to support their management in Southern Sweden. Annals of Forest Science, Springer Verlag/EDP Sciences, 2008, 65 (4), pp.1. Ann. For. Sci. 65 (2008)
Abstract -• Old oaks (Quercus robur L.) play an important role in the southern Scandinavian landscape by providing habitat for a wide range of species, a large proportion of them being currently on the National Redlists.• To provide support for the management of these trees, we review data on oak mortality and formulate a mortality-driven stochastic model analysing interactions between mortality rate, oak recruitment rate into 100-150 age class, and amount of oaks older than 200 years.• Empirical annual mortality rates varied between 0 and 13% with average 1.68%. Trees older 200 years had an average mortality rate of 1.1%. Oaks in the high density forests showed higher mortality (3.2%) as compared to the trees growing in the low density forests (1.2%). A 400-year long modelling exercises indicated that under current mortality rates (regular mortality being centred around 1% annually; and irregular mortality 7% with average return time of 13 years) the long-term maintenance of 20 trees older than 200 years per ha would require an input rate of 1 to 5 trees × year −1 × ha −1 into the 100-150 years old class.• The modelling highlighted the importance of initial oak abundance affecting amount of old trees at the end of shorter (100 years) simulation period.European hardwoods / conservation / dendrochronology / population dynamics / disturbance Résumé -Durée de vie et mortalité des vieux chênes : une approche empirique combinée à une modélisation pour un appui à leur gestion dans le sud de la Suède.• Les vieux chênes (Quercus robur L.) jouent un rôle important dans le paysage du sud de la Suède en procurant un habitat pour un large éventail d'espèces, une grande proportion d'entre elles étant actuellement dans les Listes rouges nationales.• Pour appuyer la gestion de ces arbres, nous avons examiné les données relatives à la mortalité des chênes et formulons un modèle stochastique de mortalité analysant les interactions entre taux de mortalité, taux de recrutement des chênes dans les classes 100-150 ans et total des chênes plus vieux que 200 ans.• Les taux empiriques de mortalité ont varié entre 0 et 13 % avec une moyenne de 1,68 %. Les arbres de plus de 200 ans présentaient un taux de mortalité de 1,1 %. Dans les plus fortes densités forestières les chênes montraient une mortalité plus élevée (3,2 %) comparativement aux arbres poussant dans des forêts de densité plus faible (1,2 %). Des exercices de modélisation sur 400 ans ont indiqué qu'en dessous d'un taux courant de mortalité (mortalité courante annelle centrée autour de 1 % et mortalité irrégulière de 7 % avec un temps de retour de 13 ans) la maintenance à long terme de 20 vieux arbres par hectare demanderait u...