Determination of Heavy Metals in Human Liver

Bona, Maite; Castellano, M.; Plaza, L.; Fernandez, A.

doi:10.1177/096032719201100502

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“…The lack of any Table 3. Hepatic lead concentrations in female humans relationship between the age of the deceased individual and the amount of lead found in his/her liver is consistent with the findings of Bona (1992) and Oldereid (1993). Livers from males tend to contain a higher level of lead on average than for females.…”

Section: Resultssupporting

confidence: 79%

Preliminary Results of a Survey of Lead Levels in Human Liver Tissue

Treble

Thompson

1997

Bulletin of Environmental Contamination and Toxicology

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Lead and compounds containing lead are widespread throughout the environment. Aside from specific instances of occupational exposure (for example, workers in smelters, radiator repair shops, battery manufacturing plants), there are several routes by which the general population is exposed to lead. Humans are exposed to trace quantities of lead on a daily basis through inhalation of air, consumption of drinking water, and inigestion of food. Children, who tend to have increased hand-to-mouth activity, ingest larger quantities of lead-containing dust and dirt than adults. Although direct contact is made daily with dust, dirt, and painted surfaces containing lead, very little lead is adsorbed through the skin.Lead generally enters the body via the lungs or gastrointestinal tract and subsequently enters the bloodstream. It has been estimated that young children absorb 42% of the lead that reaches the gastrointestinal tract as compared to the 5 to 15% absorbed by adults (Goyer 1991). Children also tend to retain a much higher proportion of absorbed lead than adults, typically greater than 30% versus less than 5%, respectively. Most of the lead which is stored by the body is found in bone and teeth. Lead which is not stored by the body is eliminated in urine and feces.

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Section: Resultssupporting

confidence: 79%

Preliminary Results of a Survey of Lead Levels in Human Liver Tissue

Treble

Thompson

1997

Bulletin of Environmental Contamination and Toxicology

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“…En ce qui concerne nos résultats, les concentrations obtenues sont généralement inférieures à celles publiées dans des études antérieures [8][9][10][11][12][13][14]. Compte tenu de la taille ré-duite de notre échantillon, il ne nous a pas été possible de différencier les deux sexes.…”

Section: Discussionunclassified

Profil métallique tissulaire par ICP-MS chez des sujets décédés

et al. 2010

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Résumé -Objectif : La surveillance biologique et la recherche d'une exposition à des métaux ou à des métalloïdes font habituellement appel à leur dosage dans le sang et les urines. Cependant, en médecine légale, ces milieux ne sont pas toujours disponibles, il est de ce fait nécessaire d'utiliser d'autres prélèvements. Si les cheveux et les ongles sont des biomarqueurs permettant de mettre en évidence une exposition au long cours, ils peuvent être le siège d'une contamination externe. Aussi, il nous a semblé intéressant d'étudier la distribution des métaux dans les tissus. Méthode : À l'occasion d'une autopsie, nous avons réalisé le dosage de 34 éléments dans les principaux tissus : Li, Be, B, Al, V, Cr, Mn, Co, Ni, Cu, Zn, Ga, Ge, As, Se, Rb, Sr, Mo, Pd, Ag, Cd, Sn, Sb, Te, Ba, La, Gd, W, Pt, Hg, Tl, Pb, Bi, U, chez 21 sujets des deux sexes âgés de 19 à 57 ans. Les dosages ont été réalisés par plasma à couplage inductif équipé d'un détecteur de masse sur des échantillons congelés de divers organes : cerveau, coeur, rein, foie, poumon et muscle. Cinq cents milligrammes de tissus sont minéralisés à 70• C avec de l'acide nitrique pur. Le minéralisat est dilué avant analyse (acide nitrique, butanol et triton) en présence d'étalons internes (indium et rhodium). Du foie de boeuf d'origine chinoise dont les concentrations de métaux sont certifiées et des cheveux provenant de l'Institut national de santé publique du Canada comportant de nombreuses valeurs de référence ont été analysés. Les résultats obtenus dans les biopsies de foie et de peau dans un cas de fibrose systémique néphrogénique (FNS) sont présentés. Résultats : La linéarité est excellente dans une large gamme de concentrations avec une pente supérieure à 0,999 pour tous les éléments. Les limites de détection sont comprises entre 8 µg/g (U) et 30 ng/g (B). La fidélité intermédiaire et la reproductibilité sont respectivement inférieures à 5 % et 10 %. Tous les éléments présentent une distribution log-normale. La répartition de nombreux métaux est homogène dans les différents organes (B, U, Ni). Des concentrations élevées de Cd sont constatées dans le rein alors qu'elles sont beaucoup plus faibles dans les autres tissus. Les organes à fonction métabolique contiennent les teneurs les plus importantes de quelques éléments (Mn, Mo). Pour l'Al, les concentrations les plus fortes sont retrouvées dans le poumon, organe en contact avec le milieu extérieur. Ces résultats sont comparés aux rares données de la litté-rature. Le premier cas rapporté de NSF montre une teneur hépatique en Gd 20 000 fois plus élevée que celles obtenues chez des sujets décédés. En toxicologie judiciaire, le dosage des métaux et des métalloïdes dans les tissus est d'un intérêt majeur dans un certain nombre de circonstances pour documenter le décès : liquides biologiques non disponibles, soins de conservation. Conclusion : Le dosage multi-élémentaire dans les tissus par ICP-MS constitue un marqueur d'exposition aux métaux ou aux métalloïdes très utile avec de nombreuses applications cliniques ...

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“…Cr(VI) is suspected of being one of initiators for lung cancer (1). Recently, it was reported that several ppm of chromium was measured in many livers following sudden traumatic death (2). Thus, interest in the possible biological function of chromium continues to increase, particularly at the trace level.…”

Section: ᭧ 1997 Academic Pressmentioning

confidence: 99%

“…Many researchers have presented the determination of chromium in biological materials by electrothermal atomic absorption spectrometry (ETAAS) (2)(3)(4)(5)(6)(7)(8)(9)(10)(11)(12)(13)(14)(15)(16), inductively coupled plasma emission spectrometry (ICP) (17), and flame AAS (18,19), which have relatively high sensitivities and are convenient. In these methods, ETAAS has higher sensitivity but severe chemical interferences (6,16).…”

Section: ᭧ 1997 Academic Pressmentioning

confidence: 99%

“…The optimal pyrolysis temperature for chromium in the molybdenum atomizer was selected to be 750ЊC. The temperature (750ЊC) in the metal atomizer was very different from those obtained in graphite furnace atomizers (1200-1800ЊC; [2][3][4][5][6][7][8][9][10][11][12][13][14][15][16]23 the reasons for this probably is the lack of formation of chromium carbide in the metal tube.…”

mentioning

confidence: 99%

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