“…Ce phénomène est plus prononcé qu'en France, où les parcours atypiques et les erreurs d'orientation ne sont pas tolérés (Dubet, 2004;Guichard, à paraître (Tremblay, Bonnelli, Larose, Audet & Voyer, 2006). Aux États-Unis, l'indécision serait en hausse depuis les années 1970 et toucherait un étudiant sur deux à la fin du secondaire (Crites, 1969;Gianakos, 1999), alors qu'en France, elle concerne le tiers à la fin du secondaire (Forner, 2007). 18 L'adaptation à l'enseignement supérieur s'appuie sur différentes composantes de l'expérience étudiante: le rapport aux savoirs et aux cours, à l'établissement, aux professeurs, à la tâche ainsi qu'aux pairs.…”