“…Cependant, on ne peut les qualifier d'« espaces périphériques » (REMICA, 1978), en ce sens que la dépendance et la sous-qualification de l'emploi sont loin d'être générales : J. COHEN (1987) aboutit, pour le Sud de la région parisienne, à des conclusions beaucoup plus nuancées que les hypothèses avancées par J.P. LABORIE et J.F. LANGUMIER (1982). De plus, les couches très aisées sont présentes à la fois dans les centres-villes et dans certaines communes périphériques, où elles font preuve d'un grand activisme dans les conseils municipaux pour protéger la « ruralité » de leur cadre de vie.…”