“…Si les études déjà réalisées, sur le marché français, ont déjà permis de montrer un impact relativement modéré des normes IAS/IFRS sur les capitaux propres (Schatt et Gross, 2007), ou les immobilisations corporelles (Benabdellah et Teller, 2006), de nombreuses questions restent posées quant à leur incidence sur les actifs incorporels, lesquels déterminent aussi bien la performance que la valorisation des firmes et en particulier de celles intensives en R&D (Lantz et Sahut, 2005). De plus, la faible taille des échantillons considérés dans ces études, en général les entreprises du CAC 40 (Schatt et Gross, 2007 ;Bessieux-Ollier et Walliser, 2007), limite la portée de leurs conclusions.…”