“…Les effets de cette contre-réforme foncière sont de mieux en mieux documentés, que ce soit par les ONG et les organisations internationales qui se focalisent plutôt sur l'actualité (par exemple Adhoc, 2013;Sperfeldt et al, 2012) ou par les chercheurs qui s'intéressent aussi au long terme et à ce qui rend les réformes possibles (par exemple Luna, 2016 ;Hall et al, 2011 ;Gironde et Gay, 2015 ;Touch and Neef, 2015 ;Loehr, 2012). Ces travaux font le constat de violences exercées sur les biens fonciers et les personnes, de déplacements forcés, de dynamiques de précarisation et d'appauvrissements, de destructions environnementales, etc.…”