“…Elles donnent accès à des images plus positives que celles longtemps renvoyées par les médias, le cinéma et la télévision, oscillant entre fétichisme et sensationnalisme, psychiatrisation et sexualisation des femmes trans (Alessandrin, 2012 ;Karami et al, 2018), et comblent un déficit de représentations, notamment pour les hommes (FtoM) invisibilisés jusqu'au début des années 2000 (Espineira, 2015b). Elles forment des safe spaces 1 , où l'on se retrouve, un temps, dans l'« entre-soi », à l'abri des discours psychiatrisants, transphobes et alarmistes (Stassin, 2022).…”