Manifestations osseuses des parasitoses

Zlitni, M.; Ezzaouia, K.; Bouzidi, Ramzi; Lebib, Hamadi; Mestiri, M.; Kooli, Mondher

doi:10.1016/s0246-0521(09)44800-9

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“…The liver and the lungs are most frequently involved [1]. Bone involvement is reported in 1-2% of the cases and about 50% of those are seen in the spine [2]. The first hydatid disease in spine was reported in 1807 by Chaussier [3].…”

Section: Introductionmentioning

confidence: 99%

Primary posterior mediastinal hydatid cyst mimicking malignant mediastinal neurogenic tumor

Baram¹,

Kakamad²,

Alwan³

2014

IJCRI

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International Journal of Case Reports and Images (IJCRI) is an international, peer reviewed, monthly, open access, online journal, publishing high-quality, articles in all areas of basic medical sciences and clinical specialties.Aim of IJCRI is to encourage the publication of new information by providing a platform for reporting of unique, unusual and rare cases which enhance understanding of disease process, its diagnosis, management and clinico-pathologic correlations. Case Report: A 40-year-old female referred to us suffering from painful spastic weakness of lower limbs, her condition started six months earlier to admission and she became paraplegic for last four months with loss of bladder and bowel control. She had L4, L5 lumbar laminectomy four months earlier as she was diagnosed as lumbar prolapsed intervertebral disc. After a thorough diagnostic workup, it was provisionally found that she has a malignant posterior mediastinal mass, but surprisingly only intraoperatively we discovered that she had only a posterior mediastinal hydatid cyst, which had been treated accordingly. IJCRI publishes Conclusion:Hydatid cyst may speculate all types of thoracic tumors so high index of suspension should be considered in treating thoracic tumors in an endemic area.

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Section: Introductionmentioning

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Primary posterior mediastinal hydatid cyst mimicking malignant mediastinal neurogenic tumor

Baram¹,

Kakamad²,

Alwan³

2014

IJCRI

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“…L'immunoréaction dépend de l'intégrité du kyste hydatique, elle est forte en cas de rupture des kystes et négative en cas de kystes intacts, vieillis, calcifiés et morts. Il faut citer également la recherche d'IgE spécifique et le test de dégranulation des basophiles [9]. Le diagnostic de certitude est établi sur l' histologie de la lésion, notamment si l'on hésite entre plusieurs maladies (tuberculose, ostéite infectieuse à germe banal, plasmocytome solitaire, tumeur bénigne, kyste anévrismal, dysplasie fIbreuse, tumeur à cellule géante ou tumeur maligne) [9].…”

unclassified

“…Il faut citer également la recherche d'IgE spécifique et le test de dégranulation des basophiles [9]. Le diagnostic de certitude est établi sur l' histologie de la lésion, notamment si l'on hésite entre plusieurs maladies (tuberculose, ostéite infectieuse à germe banal, plasmocytome solitaire, tumeur bénigne, kyste anévrismal, dysplasie fIbreuse, tumeur à cellule géante ou tumeur maligne) [9]. La radiographie standard peut montrer des destructions irrégulières du corps vertébral se traduisant par des lacunes vertébrales de différentes tailles, ovales ou polycycliques, avec un aspect boursouflé ou en nid d'abeille, sans limite nette.…”

unclassified

“…Elle peut aussi montrer des calcifications de la paroi kystique et certaines complications (fracture vertébrale, infection et fistulisation de l'abcès) [6]. Les abcès ossifluents apparaissent sous la forme d'ombre paravertébrale unilatérale polycyclique à l'étage dorsal ou de refoulement du psoas au niveau lombaire [9]. La tomodensitométrie est plus performante pour l'analyse osseuse, elle montre clairement les images lacunaires multiples de densités liquidiennes, les lésions lytiques osseuses plus au moins bien limitées, les tassements vertébraux, l'atteinte discale quand elle existe et l'absence de rehaussement après injection de produit de contraste.…”

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Hydatidose multifocale avec atteinte vertébro-médullaire étendue

et al. 2012

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“…Il s'agit principalement du mébendazole, de l'albendazole pendant au moins 3 mois. En cas de récidive, certains préconisent un traitement anti-helminthique à vie [9]. La latence clinique de l'hydatidose vertébro-médullaire est responsable du long délai diagnostique aboutissant à une extension maligne des lésions et à des complications justifIant un traitement chirurgical très délabrant, n'entraînant jamais de guérison, mais uniquement des rémissions plus ou moins longues.…”

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