Competitive bidding for public subsidy allocation for welfare services has been widely applied in established welfare states since the 1980s. Studies conducted in these countries have inclined to understand competitive bidding as a financing initiative and use an array of ''failure theories'' to explain its challenges and failures. In contrast to these studies, the present study focuses on Hong Kong, a residual and semi-democratic welfare state, and investigates competitive bidding as a governmental policy instrument designed to increase the legitimacy of subsidy award decisions. Based on an analysis of submissions in a recent policy review and a review of existing policy documents, we suggest that the government may have increased its decision-making power over NGOs, resulting in little advancement, neither regarding welfare mix, nor concerning the legitimacy of resource allocation.Résumé Depuis les années 1980, les états bénéficiant d'un dispositif d'aide sociale établi ont largement utilisé les appels à la concurrence pour allouer des subventions publiques aux services d'aide sociale. Les études menées dans ces pays tendent à interpréter l'appel à la concurrence comme une initiative de financement, et font appel à toute une gamme de « théories de défaillance » pour expliquer les défis que pose cette pratique ainsi que ses échecs. La présente étude se concentre sur Hong Kong, un état semi-démocratique disposant d'un système d'aide sociale résiduel, et se distingue des précédentes études en examinant l'appel à la concurrence comme un instrument de politique gouvernementale conçu pour accroître la légitimité des décisions d'attributions de subventions. L'analyse des candidatures dans un récent examen de la politique et la revue des documents de politique existants nous permettent de suggérer que le gouvernement pourrait avoir gagné du pouvoir décisionnel au détriment des ONG, n'entraînant qu'un faible progrès qui ne profite ni à la répartition de l'aide sociale ni à la légitimité de l'allocation de ressources.Zusammenfassung Ausschreibungsverfahren bei der Zuteilung öffentlicher Subventionen für Sozialeinrichtungen sind in etablierten Sozialstaaten seit den achtziger Jahren weit verbreitet. Studien in diesen Ländern neigen dazu, das Ausschreibungsverfahren als eine Finanzierungsinitiative zu verstehen und stützen sich zur Erklärung seiner Probleme und Misserfolge auf eine Reihe von ,,Versagenstheorien''. Im Gegensatz zu diesen Studien konzentriert sich die vorliegende Studie auf Hongkong, einem residualen und semidemokratischen Sozialstaat, und untersucht die Ausschreibungsverfahren als ein politisches Instrument der Regierung zur Erhöhung der Legitimität von Entscheidungen über die Bereitstellung von Subventionen. Beruhend auf einer Analyse von Ausführungen im Rahmen einer kürz-lichen Ü berprüfung von politischen Richtlinien sowie einer Prüfung von Dokumenten zu bestehenden politischen Richtlinien behaupten wir, dass die Regierung ihre Entscheidungsgewalt gegenüber nicht-staatlichen Organisationen unter Umstände...