“…Le cadre conceptuel de la théorie de l'appropriation Grimand, (2006) (Bejerot, et Hasselbladh, 2013) -Nécessité de se focaliser sur les processus que sur les résultats (Lindberg et al, 2015) -Résilience des organisations publiques face au NPM (Goldfinch, et Wallis, 2010) -Démobilisations organisationnelles (Rusaw, 2007) Sur l'environnement des organisations -Ajustement essentiellement politique du NPM (Lodge et Gill, 2011) -Développement de valeurs marchandes (Eyraud et al, 2011) -Rôle des acteurs internes dans la diffusion des outils du NPM (Musselin et Dif-Pradalier, 2014, Rocher, 2008 -Rôle des acteurs externes (Turc et Guenoun, 2009) -Rôle des classements internationaux (Gastaldi et Lanciano-Morandat, 2011) Sur les hommes -Perte de créativité et d'autonomie (Siltala, 2013) -Culpabilisation, stress, perte d'autonomie (Chandler et al, 2002) -Mobilisation plus individuelle que collective (Grenier et Zeller, 2014) Sur les modes de management Ces travaux portant sur l'appropriation des outils de gestion insistent sur la nécessité de prendre en compte la complexité des situations d'interprétation des acteurs lors de la mise en oeuvre d'un outil. Ils soutiennent qu'il ne suffit plus de s'intéresser à « l'adoption » des outils (en tant que processus de décision) mais à leur « appropriation » pour notamment mesurer les écarts constatés entre l'usage prévu d'un outil et, son utilisation effective (ibid.).…”