Quetiapine treatment and improved cognitive functioning in borderline personality disorder

Eynde, Fréderique Van den; Saedeleer, Sofie De; Naudts, Kris; Day, Jemma; Vogels, Caroline; Heeringen, Cornelis Van; Audenaert, Kurt

doi:10.1002/hup.1075

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“…The effect of quetiapine on response inhibition, a dimension of impulsivity, is consistent with previous literature on borderline personality disorder (BPD) patients (Hilger et al, 2003; Perrella et al, 2007; Van den Eynde et al, 2009). In previous research on individuals with BPD revealed that quetiapine decreased impulsivity, as captured through the BIS, a self-report measure.…”

Section: Discussionsupporting

confidence: 89%

Quetiapine improves response inhibition in alcohol dependent patients: A placebo-controlled pilot study

Moallem

Ray

2012

Pharmacology Biochemistry and Behavior

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Rationale Quetiapine has been shown to be a promising medication for the treatment of alcoholism. As an atypical antipsychotic medication with antagonist activity at D1 and D2, 5-HT1A and 5-HT2A, H1 and α1 and α2 receptors, quetiapine has been found to decrease impulsivity in other psychiatric disorders but its effects on impulsivity have not been studied in alcohol dependent patients. Objective This study seeks to test the effects of quetiapine on a specific dimension of impulsivity, namely response inhibition. This pilot study seeks to further elucidate the mechanisms of action of quetiapine for alcohol use disorders. Method A total of 20 non-treatment seeking alcohol dependent individuals were randomized to one of the following conditions in a double-blind, placebo-controlled design: (1) quetiapine (400 mg/day); or (2) matched placebo. Participants completed two counterbalanced intravenous placebo-alcohol administration sessions as well as behavioral measure of response inhibition (i.e. stop signal task) pre and post placebo-alcohol administration sessions. Results Analyses revealed a significant effect of quetiapine in improving response inhibition as measured by the stop signal task. These results provide preliminary evidence suggesting that quetiapine improves response inhibition in alcohol dependent patients, as compared to placebo. Conclusion This pilot study contributes a novel putative mechanism of action of quetiapine in alcoholism, namely an improvement in response inhibition.

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Section: Discussionsupporting

confidence: 89%

Quetiapine improves response inhibition in alcohol dependent patients: A placebo-controlled pilot study

Moallem

Ray

2012

Pharmacology Biochemistry and Behavior

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“…Quetiapine has been extensively studied over the years in several open-label trials of BPD patients [87][88][89][90][91][92], and the accumulated evidence suggested remarkable efficacy of this drug in reducing impulsiveaggressive behaviours, affective instability, and anxious-depressive symptoms.…”

Section: 2) Second Generation Antipsychoticsmentioning

confidence: 99%

Pharmacotherapy of personality disorders: what we know and what we have to search for

et al. 2017

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Pharmacotherapy for personality disorders is in the early stage of development because the evidence base for effective drug treatment is insufficient, biased toward borderline personality disorder and rampant with methodological issues. In this paper, we reviewed randomized, placebo-controlled trials of drugs efficacy in patients with personality disorders published between 1990 and 2016.Overwhelming majority of studies focused on borderline personality disorder (BPD), and the accumulation of evidence resulted in 7 meta-analyses, which are interpreted into better strategies for evidence-based practice. Little research attention was given to schizotypal (SPTD) and antisocial (ASPD) personality disorders, with only indirect treatment efficacy evidence for the obsessivecompulsive (OCPD) and avoidant (AvPD) personality disorders. Some avenues for future efficacy research are indicated.

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“…Madame T. la frappait à grands coups jusqu'à ce qu'on ait recours à la force pour l'immobiliser. Dans le but de réduire l'impulsivité de madame T. et d'améliorer ses fonctions exécutives, un psychiatre de l'urgence lui prescrit de la quétiapine en monothérapie (Villeneuve et Lemelin, 2005 ;Van den Eynde et al, 2009). Du côté des séjours en psychiatrie, madame était gardée moins de soixante-douze heures à chaque hospitalisation.…”

Section: Histoire De Casunclassified

Impasses et opportunités dans le traitement des personnes souffrant d’un trouble sévère de la personnalité limite

Bouchard¹

2011

smq

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(imprimé) 1708-3923 (numérique) Découvrir la revue Citer cet article Bouchard, S. (2010). Impasses et opportunités dans le traitement des personnes souffrant d'un trouble sévère de la personnalité limite. Santé mentale au Québec, 35(2), 61-85. doi:10.7202/1000554ar Résumé de l'article Le trouble de personnalité limite (TPL) est un grave problème de santé mentale dont l'une des principales caractéristiques est de prédisposer à des difficultés relationnelles importantes. Ceci a pour conséquence d'alimenter les attitudes négatives des intervenants qui oeuvrent auprès de cette clientèle difficile et d'augmenter le risque d'impasse dans le traitement. Cet article présente six grandes stratégies qui permettent de limiter l'émergence d'un sentiment d'impasse chez les cliniciens. L'auteur présente les principaux points communs des équipes de traitement qui s'avérent efficaces dans leur travail auprès de cette clientèle. Une histoire de cas illustre que, même dans des conditions optimales, des impasses cliniques se produisent, et que ces impasses peuvent constituer une opportunité de croissance pour le patient et son psychothérapeute. En conclusion, l'auteur recommande que plus de formation sur le TPL soit offerte aux professionnels de la santé afin d'éviter la stigmatisation de cette clientèle, d'améliorer l'organisation des services offerts et d'augmenter l'efficience des traitements disponibles. Le TPL est un problème de santé mentale grave dont l'une des principales caractéristiques est de prédisposer à des problèmes relationnels. De par sa prédisposition à engendrer des problèmes relationnels, le trouble de la personnalité limite (TPL) constitue un important générateur de sentiment d'impasse chez les intervenants en santé mentale. Les personnes avec un TPL occupent une place de choix dans les discussions sur les impasses cliniques et cette imposante présence s'explique tant par la prévalence du TPL que par l'intensité des réactions émotionnelles suscitées par ce type de patient. En effet, cette clientèle a une forte tendance à chercher de l'aide dans les services de santé mentale ; près de 95 % des patients avec un TPL ont tenté de profiter d'une psychothérapie individuelle, 72 % ont déjà été hospitalisés et près de 70 % ont une prescription pour trois médications psychotropes ou plus . De plus, ces personnes représentent 10 % des patients en clinique externe et 20 % des patients hospitalisés en psychiatrie (Lieb et al., 2004). D'autre part, le diagnostic de TPL figure parmi les diagnostics fortement associés à des attitudes et des sentiments contre-transférentiels négatifs chez les professionnels de la santé mentale (Betan et al., 2005). Cet article présente notre approche théorique et notre cadre de pratique clinique, suivis de six grandes stratégies qui permettent de limiter le risque d'impasse chez les patients avec un TPL. Un résumé des principales caractéristiques des équipes de professionnels généralement aptes à transformer les impasses en opportunités est ensuite présenté. Enfin, une brève histoire...

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Quetiapine treatment and improved cognitive functioning in borderline personality disorder

Abstract: In this study we have demonstrated that executive functioning in BPD is improved after treatment with quetiapine. Neurocognitive measures of executive functioning should be considered as valuable outcomes in the study of treatment efficacy in BPD.

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Quetiapine improves response inhibition in alcohol dependent patients: A placebo-controlled pilot study

Quetiapine improves response inhibition in alcohol dependent patients: A placebo-controlled pilot study

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