The goal of this article is to consider the potential for digital video cameras to produce as part of a research agencement. Our reflection will be guided by the current literature on the use of video recordings in research, as well as by the rhizoanalysis of two vignettes. The first of these vignettes is associated with a short video clip shot by a newcomer student as part of a three-year research project that focused on the interrelationships between citizenship, technology, and pop culture. The second vignette relates to the entry of a piece of art into the research agencement. As an agencement in and of itself, the goal of this article is not to provide definitive responses, but rather to disrupt habitual ways of thinking about videos in / as research and potentially contribute to change.Le but de cet article est d’examiner ce que des caméras vidéo pourraient produire au sein d’un agencement de recherche. Notre réflexion prendra appui d’une part sur ce que nous révèlent les écrits consacrés à l’utilisation de films vidéos dans la recherche, et d’autre part sur la rhizoanalyse de deux vignettes. La première vignette est associée à un court clip vidéo filmé par un élève nouvel arrivant dans le cadre d’un projet de recherche de trois ans consacré aux liens qui unissent la citoyenneté, la technologie et la culture pop. La deuxième vignette touche à l’entrée d’une oeuvre d’art dans l’agencement de recherche. Étant lui-même un agencement, cet article ne prétend pas fournir de réponses définitives, mais tend plutôt à perturber la façon dont nous envisageons les vidéos dans la /en tant que recherche et ce faisant à potentiellement contribuer au changement