Role of gustation in the recognition of oleate and triolein in anosmic rats

Fukuwatari, Tsutomu; Shibata, Katsumi; Iguchi, Kaori; Saeki, Tomoko; Iwata, Akiko; Tani, Kaori; Sugimoto, Etsuro; Fushiki, Tohru

doi:10.1016/s0031-9384(03)00037-4

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“…First, the recognition of FA by FAT/CD36 might have structure differences. FAT/CD36 was found abundantly at the apical region of the taste cell (Fukuwatari et al, 2003), and as a transmembrane glycoprotein it was even considered to be a fat sensor (Dransfield, 2008). These assumptions were strongly supported by the experiments in FAT/CD36-null mice.…”

Section: Discussionmentioning

confidence: 84%

Selective transport of long-chain fatty acids by FAT/CD36 in skeletal muscle of broilers

Guo

Shu

Zhou

et al. 2013

Animal

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Fatty acid translocase (FAT/CD36) is a membrane receptor that facilitates long-chain fatty acid uptake. To investigate its role in the regulation of long-chain fatty acid composition in muscle tissue, we studied and compared FAT/CD36 gene expression in muscle tissues of commercial broiler chickens and Chinese local Silky fowls. The results from gas chromatography-mass spectrometry analysis of muscle samples demonstrated that Chinese local Silky fowls had significantly higher (P , 0.05) proportions of linoleic acid (LA) and palmitic acid, lower proportions (P , 0.05) of arachidonic acid (AA) and oleic acid than the commercial broiler chickens. The mRNA expression levels of fatty acid (FA) transporters (FA transport protein-1, membrane FA-binding protein, FAT/CD36 and caveolin-1) in the m. ipsilateral pectoralis and biceps femoris were analyzed by Q-PCR, and FAT/CD36 expression levels showed significant differences between these types of chickens (P , 0.01). Interestingly, the levels of FAT/CD36 expression are positively correlated with LA content (r 5 0.567, P , 0.01) but negatively correlated with palmitic acid content (r 5 20.568, P , 0.01). Further experiments in the stably transfected Chinese hamster oocytes cells with chicken FAT/CD36 cDNA demonstrated that overexpression of FAT/CD36 improves total FA uptake with a significant increase in the proportion of LA and AA, and a decreased proportion of palmitic acid. These results suggest that chicken FAT/CD36 may selectively transport LA and AA, which may lead to the higher LA deposition in muscle tissue.

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Section: Discussionmentioning

confidence: 84%

Selective transport of long-chain fatty acids by FAT/CD36 in skeletal muscle of broilers

Guo

Shu

Zhou

et al. 2013

Animal

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“…Les travaux actuels laissent à penser qu'il existerait une sixième modalité gustative dévolue à la perception de certains lipides, les acides gras à longue chaîne (AGLC). [3,4]. La capacité à percevoir de façon sélective les AGLC a été récemment confirmée en utilisant la méthode de l'aversion gustative conditionnée qui consiste à rendre un animal aversif vis-à-vis d'une molécule donnée en associant sa consommation avec un malaise digestif provoqué par voie chimique.…”

Section: Le « Goût Du Gras » : Le Paradigmeunclassified

Perception gustative des lipides alimentaires : paradigme et paradoxes

Gaillard

Passilly-Degrace

Besnard

2008

OCL

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“…Il a donc fallu évaluer l'importance relative de chacun de ces paramètres physiologiques pour arriver à la conclusion que le « gras » peut être perçu comme une saveur. Tout d'abord, l'attirance pour les lipides est maintenue chez les rats et les souris rendus anosmiques (perte de l'odorat) par instillation nasale de sulfate de zinc, ce qui démontre que l'olfaction ne joue pas un rôle prépondérant dans ce choix [3,4]. De même, la préférence pour les lipides ne semble pas être totalement imputable à leur palatabilité intrinsèque puisque les animaux préfèrent nettement l'huile végétale à un agent texturant comme la gomme de xanthane [2].…”

Section: Anatomie Du Système Gustatifunclassified

“…L'ensemble de ces travaux suggère donc que la préférence spontanée pour les lipides comporte également une dimension gustative. Le fait que l'exclusion simultanée des influences olfactives, texturales et post-ingestives soit insuffisante pour supprimer totalement l'attrait pour les lipides chez le rongeur étaye de façon pertinente ce constat [3,4]. Mais quelle est la nature de ce stimulus gustatif ?…”

Section: Anatomie Du Système Gustatifunclassified

Sur la piste du « goût du gras »

Gaillard

Passilly-Degrace

Laugerette

et al. 2006

OCL

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Sense of taste informs the body about the quality of ingested foods. Five sub-modalities allowing the perception of sweet, salty, sour, bitter, and umami Key words: lipids, CD36, gustatory papillaeL'acte alimentaire est un comportement complexe résultant de l'intégration de paramètres physiologiques, hédoniques, culturels, voire philosophiques. Les grandes mutations techniques du XX e siècle ont eu de profondes réper-cutions sur notre façon de nous alimenter. Pour la première fois de son histoire, une large partie de la population mondiale « ne court plus après les calories ». Ce changement fondamental a entraîné l'émergence de maladies dites de pléthores qui posent un véritable problème de santé publique. L'augmentation dramatique de l'obésité en est un des exemples les plus criants. L'opulence alimentaire a une consé-quence évidente : elle laisse libre cours à nos appétits spécifiques. C'est ainsi que dans le régime occidental, les lipides alimentaires représentent près de 40 % des apports caloriques journaliers alors que les recommandations nutritionnelles sont plus faibles de 10 %. Cet apport excessif, associé à un déséquilibre qualitatif (excès d'acides gras saturés et de cholestérol, rapport des acides gras polyinsaturés x6/x3 trop élevé) participe, sans nul doute, à l'augmentation de la prévalence de l'obésité et des pathologies associées (atteintes vasculaires, diabète de type II, hypertension, cancers). Cette attirance pour les corps gras n'est pas spécifique à l'homme. Par exemple, des études comportementales indiquent clairement que les rats et les souris présentent également une préférence spontanée pour les boissons et les aliments enrichis en lipides [1,2]. L'origine de cet attrait est encore mal connue. Jusqu'à une période récente, on pensait que seules la texture et l'odeur des lipides étaient responsables de leur perception orosensorielle. En effet, les perceptions tactiles (le crémeux, l'onctuosité) et olfactives augmentent la palatabilité de l'aliment et donc le plaisir de le consommer. Cette vision restrictive a été récemment battue en brèche par une série d'études comportementales réalisées notamment chez le rongeur montrant que la préférence pour les lipides dépend également de leur perception gustative. Anatomie du système gustatifChez les mammifères, la gustation agit de concert avec l'olfaction et les sensibilités somesthésiques (perception de la texture, température) pour indiquer si un aliment peut être ingéré. Cinq modalités gustatives sont classiquement décrites : le sucré, le salé, l'amer, l'acide et l'umami (goût induit par certains acides aminés comme le glutamate). La perception de ces saveurs est assurée par différen-tes protéines chimioréceptrices trouvées au niveau des cellules sensorielles des bourgeons du goût. On trouve ces derniers dans les papilles gustatives dont la densité est particulièrement élevée au niveau de l'épithélium lingual. Des bourgeons du goût existent égale-ment, mais de façon diffuse, dans d'autres tissus incluant le voile du palais, le phary...

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Role of gustation in the recognition of oleate and triolein in anosmic rats

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Selective transport of long-chain fatty acids by FAT/CD36 in skeletal muscle of broilers

Selective transport of long-chain fatty acids by FAT/CD36 in skeletal muscle of broilers

Perception gustative des lipides alimentaires : paradigme et paradoxes

Sur la piste du « goût du gras »

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