“…Cet enrichissement est aussi observé chez les patients atteints de rhinosinusite chronique [1] et dans les lésions inflammatoires de dermatite atopique, chez l'homme comme chez la souris. Leur déplétion atténue les symptômes cutanés chez la souris [49]. Dans les poumons, les ILC2 sont à l'origine de l'inflammation allergique provoquée, dans le modèle murin, par l'administration intranasale de l'allergène papaïne, et de l'hyperréactivité pulmonaire que l'on observe après une infection par le virus de la grippe [23].…”