Women as Family Caregivers: Why Do They Care?

Abstract

This study was based on in-depth qualitative interviews with 40 francophone Québécois family caregivers of frail elderly or mentally ill relatives and focused on the caregiving relation rather than on the specificities of aging and mental illness. Fourteen factors (love, guilt and duty, women's social identity built around caring, absence of appropriate public or private care alternatives, women's socioeconomic dependence, etc.) emerged from an analysis of informants' accounts of how they came to be the primary caregiver. Data indicate that analyses attempting to understand women's caregiving must take into account the sexual division of labor, its reinforcement through social policy, and how women internalize ideas and norms regarding appropriate gender-role behavior.

Adult Children and Eldercare: The Moral Considerations of Filial Obligations

“…At the most basic level, caregiving without strong fellow-feeling can be deeply problematic for both the caregiver and the care-receiver (Guberman, Maheu, & Maillé, 1992;Noddings, 2003;Duke Filonowicz, 2008), as studies citing these problems seem just as prevalent as studies noting the benefits.…”

expérience des personnes aidantes auprès de leur partenaire atteint-e de dystrophie myotonique de type 1 :

“…La majorité des participant-e-s est âgée de 51 à 60 ans (n=10 (Guberman et al, 1992). n'a pu être classée dans l'une des trois catégories et n'a été nommée qu'à une seule reprise par l'une des répondantes.…”

La rémunération des soins aux proches : enjeux pour les femmes

“…2) Il est faux de dire que les femmes choisissent d'assumer la prise en charge de leurs proches ou que le seul motif ou même le principal motif de toutes les femmes est l'amour et le don de soi (Hooyman et Gonyea, 1995 ;Guberman et al, 1992). S'il peut y avoir des rapports affectifs très forts, il est aussi vrai que les rapports de prise en charge sont structurés de façon coercitive devant l'absence de véritables choix et d'alternatives réelles dans une société basée sur une division sexuelle du travail (Baines et al, 2001 ;Guberman et al, 1992 ;Hooyman et Gonyea, 1995).…”

“…S'il peut y avoir des rapports affectifs très forts, il est aussi vrai que les rapports de prise en charge sont structurés de façon coercitive devant l'absence de véritables choix et d'alternatives réelles dans une société basée sur une division sexuelle du travail (Baines et al, 2001 ;Guberman et al, 1992 ;Hooyman et Gonyea, 1995). Comme l'indique Bourdieu (1980) : Comment peut-on ne pas voir que cette décision, si décision il y a, et le « système de préférences » qui la sous-tendent, dépendent non seulement de toutes les décisions antécédentes du décideur, mais aussi des conditions à l'intérieur desquelles ses « choix » ont été faits.…”