Acceptability of VCT appears high in the FSW population in Conakry as a consequence of both perceptions of high individual risk and social pressures.
The aim of this study was to identify correlates associated with condom use at last intercourse between sex workers (SW) and their boyfriends (BF). The sample was derived as a convenience sample recruited through existing HIV prevention organizations in Benin, Guinea and Senegal. The Theory of Planned Behavior served as the conceptual framework. A total of 406 individuals (220 SW and 186 BF) participated in the study. Socio-demographic, behavioral and psychological variables were collected through a face-to-face administered questionnaire. Condom use at last intercourse was significantly associated with intention and perceived control among SW as well as their BF. With respect to intention, perceived control, attitude and moral norm explained 82 and 74% of intention of SW and BF, respectively. These results suggest that promoting condom use among SW and BF should be based primarily on the development of personal ability to overcome obstacles to condom use.
IntroductionL’objectif de ce travail était d’analyser les caractéristiques diagnostiques, thérapeutiques et évolutives de l’enfant atteint de néphrose dans un service de pédiatrie de Dakar.MéthodesL’étude était réalisée au service de pédiatrie de l’hôpital Aristide Le Dantec. Il s’agissait d’une étude rétrospective sur une période de 03 ans allant du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2014. Ont été inclus tous les patients âgés de 02 ans à 12 ans présentant un tableau de Syndrome néphrotique idiopathique.RésultatsQuarante cas de néphrose étaient colligés soit une prévalence de 23% parmi les néphropathies prises en charge dans le service. L’âge moyen était de 7,11± 3,14 ans. Le syndrome néphrotique était pur chez 72,5% (n=29) des patients. Les œdèmes des membres inférieurs étaient présents chez 100% des patients, l’oligurie dans 55% (n=22) et l’HTA dans 5% (n=2) des cas. La protéinurie moyenne était de 145,05 ± 85,54 mg/kg/24heures. La protidémie moyenne était de 46,42 ±7,88 g/L et l’albuminémie moyenne de 17,90 ± 7,15 g/L. Trente-neuf patients avaient reçu une corticothérapie à base de prednisone. La corticosensibilité était retenue chez 77% (n=30) des patients et la corticorésistance chez 13% (n=5) des cas. Le facteur de mauvaise réponse à la corticothérapie était un niveau de protéinurie initiale supérieure à 150 mg/kg/jour (p = 0,024). La biopsie rénale était réalisée chez 18% (n=7) des patients et retrouvait dans 57,2% (n=4) des cas une hyalinose segmentaire et focale. Le cyclophosphamide et l’azathioprine étaient associés aux corticoïdes dans 10% (n=4) des cas chacun. Le taux de rémission globale était de 89,8%. L’évolution vers l’insuffisance rénale chronique était notée chez trois (03) des patients.ConclusionLa néphrose représentait près du quart des néphropathies prises en charge dans notre service. Le taux de rémission globale était élevé. Le seul facteur de mauvaise réponse à la corticothérapie était le niveau de protéinurie initiale élevée. En cas d’indication de la biopsie rénale chez nos patients, la HSF était la lésion la plus fréquemment retrouvée.
Introduction la pandémie COVID-19 a poussé le monde à mettre en œuvre des méthodes de prévention drastiques basées sur la limitation des mouvements des populations ayant un impact sur les politiques de santé publique comme la vaccination. L´objectif de ce travail était d´évaluer l´impact de ces mesures de prévention sur la vaccination de routine en milieu hospitalier depuis l´avènement de cette pandémie au Sénégal. Méthodes il s´agit d´une étude transversale rétrospective réalisée en août 2020 dans l´unité de vaccination du centre hospitalier Abass NDAO. Nous avons comparé les données de l´unité de vaccination durant la période allant de mars à août des trois dernières années (2018, 2019 et 2020). Le paramètre étudié était le nombre de dose de vaccins administrée pour les différentes périodes selon le programme élargi de vaccination. Résultats pour les vaccins administrés à la sixième semaine en avril, le nombre de dose était de 36 en 2018, 29 en 2019 et 15 en 2020 soit une baisse de 50% par rapport au mois de mars. Au mois de juillet le nombre de dose administrée était de 40 en 2018, 35 en 2019 et 15 en 2020 soit une réduction de 42% par rapport à 2019. Conclusion les mesures de lutte contre cette pandémie ne devraient pas faire oublier la vaccination de routine surtout dans nos pays à ressources limitées. Il est indispensable de poursuivre la vaccination pour les enfants et d´identifier les enfants qui ont raté des doses vaccinales pour un rattrapage.
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