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RÉSUMÉCet article fait le bilan à 13 ans d'une expérience comparative de provenances de mélèze (expé-rience internationale du Pr. SCHOBER) installée en Bretagne.Outre les caractères de vigueur, une attention spéciale a été donnée aux caractères de forme du tronc et de la cime. Les résultats montrent la très grande supériorité de certains hybrides (Larix eurolepis) et l'intérêt de la région de provenances « Sudètes ». Cependant, pour ces provenances, la forme, très variable, mérite d'être améliorée par sélection individuelle.Le passage à la pratique pourrait se faire très rapidement dans les 2 cas (hybrides et Sudètes) par l'installation de vergers à graines de clones. Dans une précédente publication (*) nous avions dressé un premier bilan concernant la période juvénile (jusqu'au stade -6 ans après semis, soit 4 ans après plantation). Deux plantations comparatives de provenances de mélèze d'Europe {Larix decidua11 s'agit maintenant d'analyser le comportement des différentes provenances 11 ans après plantation, c'est-à-dire au moment où pour les meilleures d'entre elles le stade « couvert fermé » est atteint. Dès cet âge, compte tenu de la vitesse de croissance de l'espèce, il semble en effet possible de tirer des conclusions intéressantes sur des classements de vigueur et de forme des diverses provenances mises en comparaison. Article disponible sur le site http://www.afs-journal.org ou http://dx

RESUMESur des semis d'épicéas de 4 ans de 16 provenances différentes, la densité du bois est corrélée de façon négative, au niveau des populations, avec le diamètre et la hauteur (liaisons non significatives) ainsi qu'avec la tardiveté du débourrement (liaisons significatives). La corrélation avec la fréquence des pousses d'août est positive mais non significative. Des liaisons analogues existent au niveau individuel à l'intérieur des populations.

SOMMAIRECet article rend compte du comportement, au stade juvénile, de diverses provenances d'épicéa (Picea abies Karst) échantillonnées principalement dans l'aire baltique et dans l'aire française de l'espèce. Les populations baltiques du nord-est de la Pologne se classent de manière satisfaisante pour deux caractères importants : vigueur et tardiveté du débourre-ment végétatif. Cette étude tente également de dégager des lois de variabilité infi aspécifique et aborde le problème des liaisons entre caractères au niveau individuel ei dans chaque population.L'épicéa joue un rôle très important dans les reboisements français. A l'état naturel, il n'apparaît qu'en moyenne et haute montagne, sur les reliefs orientaux du pays (Vosges, Jura, Alpes), mais il est largement utilisé hors de son aire à basse, moyenne ou haute altitude, sur des stations les plus diverses (sauf dans le midi méditerranéen et le sud-ouest).La surface qui lui est consacrée annuellement par des opérations de reboisement ou d'enrésinement s'établit approximativement à 20.000 ha, ce qui correspond à l'installation d'environ 60.000.000 de plants.Cette essence s'est imposée pour las deux raisons principales suivantes :-Il s'agit tout d'abord d'une espèce très plastique, c'est-à-dire susceptible de se développer dans des conditions écologiques assez variées, parfois assez éloignées de celles de l'aire naturelle.-Le bois produit, très connu et apprécié sur le marché, trouve facilement des débouchés, y compris pour le matériel de petite dimension (raperie).Article disponible sur le site http://www.afs-journal.org ou http://dx

Cet article fait le bilan d'une expérimentation multi-stationnelle de provenances d'épicéa commencée en 1957. L'analyse permet d'étudier le comportement de ces populations dans chaque station (3) et d'évaluer l'effet interaction et l'effet crise de transplantation. L'analyse critique de la méthodologie adoptée conduit à proposer une nouvelle méthode expérimentale d'étude de populations de conifères, l'objectif étant de réduire les coûts et d'améliorer l'efficacité de la recherche.