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Le papier que nous présentons a pour objet l’analyse de l’effet des conditions socioéconomiques des jeunes sur leur manière de se représenter l’émigration. L’approche préconisée se situe dans le sillage de la théorie des pull and push factors de la problématique des migrations, dans le but de comprendre ce qui pousse les jeunes vers l’imaginaire migratoire et conséquemment ce qui peut les attirer vers les pays de destination. Autrement dit, l’investigation se donne pour objectif de mettre en évidence les logiques sociales qui sont la base de l’imaginaire migratoire chez les jeunes des pays arabes du sud de la méditerranée. L’analyse est structurée en deux parties complémentaires : une première partie dont l’objet est la prise en charge de la part des facteurs économiques et les facteurs à caractère sociologique dans le désir de migration des jeunes. A cet effet, les attributs individuels et de contexte sont mis à contribution pour déterminer les plus discriminants. Dans une perspective comparative entre les AMCs (Arabes mediteranean countries), la deuxième partie du papier concerne la mise en évidence des effets des changements majeurs ont pris place dans certains pays AMCs sur les projets migratoires des jeunes.

In Algeria, the informal dynamic experienced by the gold sector since the 1980s was accompanied by the creation of informal trading spaces, the most important of which are in Algiers and Oran. These markets play the role of intermediary between the various actors in the informal gold sector, in particular transnational networks for the supply and marketing of the precious metal. The latter is part of this non-hegemonic economic globalization which relies on adventurers of the new market capitalism. Its network spans from Italy, Dubai to Turkey, in particular the Grand Bazaar in Istanbul. These transnational networks do not only concern the import of jewelry for consumption, but also the smuggling of gold from Algeria and this is also the case for used gold. In the paper we try to come back to the experiences of informal gold sellers in these transnational precious metal networks.

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