This paper focuses on research that has implications for two important components to self-identity: personal identity and social identity. Three questions are addressed: ( I ) How do people derive a unitary sense of self our of membership in many different social categories such as those of age, gender, race, and social class? ( 2 ) Do people respond differently when the social as opposed to the personal aspects of their identity are evoked? (3) How do people respond to collective injustice? A major theme in the results is that, although the social component of self confronts the individual with fundamental problems, the need for a shared identity motivates people to maintain this dimension of self despite the problems it generates.Picture two lovers having dinner by candlelight in a quaint restaurant. By any definition this would be described as an interpersonal interaction, where the focus is on the personal and unique characteristics of the particular man and woman in the interaction. But what if the man were to inadvertently make a chauvinistic remark? The woman might well feel the need to respond as a representative of all women. She might even express opinions that she does not endorse personally because at the moment she feels an obligation to represent the majority of women. The man would then become defensive and feel the need to defend himself as a man. Indeed, if the debate were to escalate, others in the restaurant might well be treated to an unanticipated public spectacle.This little scenario contains a number of elements that are central to the theme of this volume in general. Specifically, the focus is on cells B and D in

Résumé Cet article porte sur les déséquilibres de l’engagement scolaire étudiés auprès de 2 96 étudiants collégiaux. L’étude vise à développer des mesures du surengagement et du sous-engagement ainsi qu’à vérifier l’hypothèse selon laquelle ces modes de fonctionnement sont négativement reliés au bien-être, contrairement à l’engagement scolaire qui y est positivement relié. En plus d’analyses factorielles ayant permis de valider les échelles de mesure, des analyses de régression ainsi qu’une approche par profils ont permis de confirmer la nature des liens unissant les différents modes d’engagement au bien-être personnel. Les résultats sont discutés sous l’angle de leur utilité clinique ou pédagogique potentielle.

No abstract

Cette recherche vise a etudier deux facteurs incitant les individus des deux sexes a promouvoir 1 'egalit£ d'acces a l'emploi. Le premier, la privation relative collective (PRC), a souvent ete utilise pour expliquer pourquoi des individus s'engagent dans une action pour ameiiorer le sort de lew groupe. Le deuxieme facteur, la privation relative pour autrui (PRA), se rapporte au mecontentement ressenti par un groupe (les hommes) suite a la perception d'injustices fattes a un autre groupe (les femmes). Aucune recherche, a notre connaissance, n'aetudie ce concept de facon empirique et cette partie de la recherche est exploratoire. Les resultats montrent que les femmes eprouvant de la PRC se disent pretes a agir, mais non a appuyer le programme d'action positive propose tandis que les hommes eprouvant de la PRA y sont favorables. Les differences entre les deux types de privation relative, l'effet du type de programme d'action positive presente et l'importance d'examiner les reactions des groupes favorises sont discutes.Depuis plusieurs annees, des mccanismes ont ete mis en place dans le but d'ameliorer la situation des femmes sur le marche du travail. Pensons, par exemple, a quelques programmes mis sur pied au niveau de la fonction publique du Canada: en 1971, creation de l'Office de la promotion de la femme; en 1975, adoption de plans quinquennaux visant a assurer la representation proportionnelle des femmes dans la fonction publique; et en 1980, instauration de programmes d'action positive (White, 1983). Ces programmes n'ont cependant pas eu le succes escompte: les femmes sont toujours cantonnees aux echelons inferieurs de certaines categories professionnelles (White, 1983). Le conseil consultant" canadien de la situation de la femme (1981) souligne, par ailleurs, le peu d'empressement des employeurs a impliquer volontairement leur compagnie dans un programme d'egalite des chances parraine par la Commission de l'Emploi et de I'Immigration du Canada. Tant du cote prive que public, les programmes de redressement tardent done a donner des resultats.L'etude de la situation des femmes dans la population active appuie cette conclusion. Des donnees indiquent, en effet, qu'elles ont un taux de chomage plus eleve que les hommes, qu'elles gagnent en moyenne 64% de leur salaire (Statistique Canada, 1985) et qu'elles se retrouvent, en majorite, aux echelons inferieurs Cette etude a ete realisee grace a une subvention du Conseil de Recherche en Sciences Humaines du Canada accordee au premier auteur. Les auteurs tiennent a remercier Richard Clement, Serge Guimond et Monique Lortie-Lussier de lours commentaires judicieux sur des versions preliminaires.

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