BackgroundThe metastases of a primary lung cancer over the thyroid gland are extremely rare. We report on an unusual presentation of thyroid metastasis of lung cancer in order to improve the management of similar cases.Case presentationThree years ago, a Moroccan male 59-year-old was admitted for dyspnea, dry cough, and chest pain. He had smoked about 30 cigarette packs a year. Clinical examination revealed a right thyroid nodule. Chest and neck computed tomography (CT) scan showed a proximal left tumor in contact with the pulmonary artery and revealed a suspected nodule in the right lobe of the thyroid with homolateral neck node. Transbronchial biopsy was performed and pathological examination revealed adenocarcinoma of the lung and positive for thyroid transcription factor. Other explorations carried out, such as brain CT, bone scan and abdominal ultrasound were normal. After a repeated negative fine needle aspiration biopsy of the suspected nodule of the right lobe of the thyroid, we performed total thyroidectomy with neck dissection. An anatomopathologic exam revealed a tubulopapillary adenocarcinoma poorly differentiated. An Immunohistochemistry showed positive tumor cells with TTF1 and cytokeratin (CK) 7 but negative cells with thyroglobulin and CK20. Thus, the pulmonary tumor was classified stage IV. Chemotherapy based on the combination of cisplatin and etoposide was conducted along with supportive care. The tumor grew up with brain metastases after three cycles of chemotherapy. Unfortunately, the patient died 2 months after despite brain radiotherapy.ConclusionWe presented a medical case of a patient with thyroid metastasis resulting from a pulmonary adenocarcinoma which has rapidly evolved to brain metastases. The prognosis was pejorative in our clinical case (5 months after admission).
Résumé
Introduction
Le cancer du sein, première pathologie maligne chez la femme, reste une maladie rare chez l’homme. Il représente environ 1 % des cancers du sein et moins de 1 % de l’ensemble des néoplasies masculines. L’objectif de cette étude est d’analyser les caractéristiques cliniques, histologiques et thérapeutiques du cancer du sein chez l’homme.
Patients et méthodes
Les auteurs présentent une étude descriptive menée de manière rétrospective au service de radiothérapie-oncologie du CHU Ibn-Rochd de Casablanca, entre janvier 2006 et décembre 2007, concernant une série de 21 patients de sexe masculin présentant un cancer du sein.
Résultats
L’âge médian était de 70 ans (extrêmes: 39–84). Le délai médian de consultation était de huit mois (extrêmes: 2–24). Il s’agissait, dans 16 cas, d’une tumeur rétroaréolaire dont la taille médiane était de 35 mm (extrêmes: 15–80). Les tumeurs étaient classées T2 dans 12 cas et T4 dans sept cas. Le type histologique le plus représenté était le carcinome canalaire infiltrant (CCI) [18 cas]. Le grade SBR II a été retrouvé dans 13 cas. Le taux d’envahissement ganglionnaire axillaire prouvé histologiquement était de 38 % (huit patients) et dans 14 % des cas plus de trois ganglions étaient envahis. L’effraction capsulaire n’a été retrouvée que dans quatre cas. Les récepteurs hormonaux étaient positifs dans 19 cas. La prise en charge thérapeutique a consisté en une chirurgie radicale dans 14 cas avec une chimiothérapie associée à une radiothérapie dans cinq cas, 66 % des patients ont reçu une hormonothérapie. Après un suivi moyen de 23 mois, trois malades ont développé des métastases et six malades sont encore vivants sans maladie.
Conclusion
Le cancer du sein chez l’homme est rare. Son diagnostic se fait souvent à un stade tardif. Son traitement est similaire à celui de la femme avec un retard diagnostique retentissant sur le pronostic.
scite is a Brooklyn-based organization that helps researchers better discover and understand research articles through Smart Citations–citations that display the context of the citation and describe whether the article provides supporting or contrasting evidence. scite is used by students and researchers from around the world and is funded in part by the National Science Foundation and the National Institute on Drug Abuse of the National Institutes of Health.