2012
DOI: 10.3917/cite.049.0097
|View full text |Cite
|
Sign up to set email alerts
|

Du « poétariat » comme démenti au populisme

Abstract: Tous droits réservés pour tous pays.La reproduction ou représentation de cet article, notamment par photocopie, n'est autorisée que dans les limites des conditions générales d'utilisation du site ou, le cas échéant, des conditions générales de la licence souscrite par votre établissement. Toute autre reproduction ou représentation, en tout ou partie, sous quelque forme et de quelque manière que ce soit, est interdite sauf accord préalable et écrit de l'éditeur, en dehors des cas prévus par la législation en vi… Show more

Help me understand this report

Search citation statements

Order By: Relevance

Paper Sections

Select...
1

Citation Types

0
0
0
1

Year Published

2017
2017
2019
2019

Publication Types

Select...
2

Relationship

0
2

Authors

Journals

citations
Cited by 2 publications
(1 citation statement)
references
References 0 publications
0
0
0
1
Order By: Relevance
“…» (Pinson, site officiel). Pinson tente de répondre à cette question du devenir de la poésie aussi bien dans ses travaux poétiques que dans ses essais philosophiques ou théoriques : en tant que poète, il met en place une poésie qui souhaite dire le vécu sur la page et, en tant que philosophe, il étudie la place consacrée à la poésie dans notre société contemporaine post-industrielle, marquée par ce que Pinson lui-même qualifie de « capitalisme culturel » (Pinson 2012), en faisant référence au contrôle social exercé par la médiatisation et la communication instantanée.…”
Section: Introductionunclassified
“…» (Pinson, site officiel). Pinson tente de répondre à cette question du devenir de la poésie aussi bien dans ses travaux poétiques que dans ses essais philosophiques ou théoriques : en tant que poète, il met en place une poésie qui souhaite dire le vécu sur la page et, en tant que philosophe, il étudie la place consacrée à la poésie dans notre société contemporaine post-industrielle, marquée par ce que Pinson lui-même qualifie de « capitalisme culturel » (Pinson 2012), en faisant référence au contrôle social exercé par la médiatisation et la communication instantanée.…”
Section: Introductionunclassified