“…Ces observatoires sont des fournisseurs de données à références spatiales dont la clientèle reste principalement institutionnelle (Noucher et Gautreau, 2013 ; Georis-Creuseveau, 2014) mais aussi d'autres IDG. Leur usage, pour certaines applications et notamment le suivi, l'analyse et la cartographie des aléas hydrologiques, reste parfois problématique pour l'utilisateur final (Borah et al, 2018 ;Chung et al, 2015 ;Dao et Liou, 2015 ;Demir et Krajewski, 2013 ;Frazier et al, 2003 ;Hoque et al, 2011 ;Jain et al, 2005 ;Khan et al, 2011 ;Revilla-Romero et al, 2015 ;Sun et al, 2018 ;Wang et Xie, 2018). L'acquisition des données satellitaire, qui est basée sur des paramètres instrumentaux de capteurs numériques (optique, radar, résolutions…) et un protocole d'acquisition (héliosynchronisme, fauchée, période de revisite…), est aussi limitée par une sensibilité aux nuages (données optiques), à la topographie ou au vent de surface (données radar) et pour un horaire de revisite quasi fixe (tout type d'image).…”