Teaching how to deliver bad news: a systematic review

Abstract

“Bad news”, defined as information with huge emotional valence and potential to change personal perspectives, is, by definition, a challenge for physicians. However, the subject is not always taught in medical schools. This systematic literature review compiles all articles regarding communication of bad news after researching in databases for “medical school” and “bad news” in English, Portuguese and Spanish. The criterion was to include articles that elucidated about teaching techniques. From all 313 papers, we included 27 and classified their strategies. Most results showed that mixed strategies are more common and that, in general, the subject is well-received and appreciated by students, who reported an improvement in communicative capability after the training. We conclude that all techniques are valid and medical schools should focus on integrating this training in their regular curriculum.

Breaking Bad News: Strengths, Difficulties and Strategies Used by Undergraduate Nursing Students

“…Patients experience sorrow and despair while workers have to cope with their own feelings. Therefore, patients and families are not alone when there is the communication of bad news 21 .…”

“Dying: A Human Thing” a Importância Da Humanização Da Medicina Atual

“…Besides, another difficulty faced by doctors during clinical practice relates to communication with the patient or his family, due to the exacerbated use of incomprehensible technical terms, or even the lack of training to deal with the communication of bad news. However, studies indicate that better communication improves the doctor-patient relationship, increasing the chances of the patient adhering to the proposed treatment; it decreases the chances of medical error and the probability of patients alleging medical negligence, as well as improving the physician's confidence in their conduct 2 .…”

Conception et mise en place d’un site à visée formative dédié à l’entretien d’annonce de diagnostics médicaux

“…État de l'art des formations en santé traitant des formations à l'annonce de diagnostics graves : Une conception collaborative basée sur l'analyse de l'activité effective Une « mauvaise nouvelle », en contexte médical, est définie comme étant une information ayant une grande valence émotionnelle et ayant le potentiel de changer la vie et les perspectives de la personne à qui elle s'adresse (Camargo, Lima, Brietzke, Mucci, & Góis, 2019). L'annonce d'une mauvaise nouvelle est une tâche complexe impliquant le traitement cognitif de plusieurs dimensions en parallèle dont la régulation de contenus émotionnels intenses (Meunier et al, 2013).…”

“…2020). Dans la littérature existante, les formations à l'annonce de diagnostics graves mobilisent différentes techniques, méthodes et outils pouvant être regroupés en deux catégories : les approches requérant la participation active des bénéficiaires et les approches qui ne l'imposent pas (Camargo, Lima, Brietzke, Mucci, & Góis, 2019). Les premières privilégient l'exercice pratique et reposent sur l'emploi de jeux de rôle (Servotte et al, 2019), de simulations (Dikici, Yaris, & Cubukcu, 2009 ;Meunier et al, 2013), de brainstormings, de discussions de groupe autour d'études de cas (Dikici, Yaris, & Cubukcu, 2009) ou d'histoires relatées par des patients préalablement filmées (Bishop et al, 2016).…”

“…Par exemple dans le dispositif de Setubal et ses collaborateurs (2018), les étudiants sont invités à faire l'expérience d'une première rencontre avec un patient simulé, suivie d'un feedback faisant état des performances des étudiants durant la simulation réalisée, et lui-même suivi de la présentation d'un protocole de communication à appliquer en contexte d'annonce de diagnostic grave (Setubal et al, 2018). En sus, ces approches mixtes sont plébiscitées des étudiants (Camargo, Lima, Brietzke, Mucci, & Góis, 2019). En termes d'évaluation de formation, ce qui est généralement envisagé porte sur la mesure de la confiance en soi (Baile, et al, 2000), de la satisfaction des bénéficiaires (Coutinho & Ramessur, 2016) et des compétences acquises.…”