Cet article visait à apporter une approche en termes de droit de la propriété et de ses réflexes directs et indirects dans le plein exercice du domaine. Sachant qu’il n’y a pas de biens sans possession ou possession sans biens, il a été vérifié dans ce contexte que le droit de propriété et le droit de propriété sont autonomes les uns des autres, recevant un traitement différencié en raison de son élasticité ou de sa portée dans laquelle il implique dans d’autres branches du droit. Il s’agissait là des objectifs généraux et, dans ce sillage, la possibilité suivante a été suggérée par rapport à l’objectif spécifique : les Lois auraient-elles été inspirées par la Lumière du Créationnisme ? Quels sont les dommages découlant de la (loi n° 14,223/2006) relative au droit à la propriété et à la possession? Compte tenu de l’hypothèse, cet article est devenu pertinent par le contenu judéo-chrétien historique, dans le respect du libre volonté de l’Esprit de chaque être humain. Ainsi, la recherche est caractérisée comme une méthode inductive et rien n’empêche l’intégralité d’autres méthodes par des voies accidentelles ou non accidentelles. La recherche a été une source de références : l’aide de la doctrine, de la jurisprudence, des lois et des CF/88. Ainsi, parce qu’il n’a pas un but aprioriste, cet article est ouvert à l’exploration future.