Ma gratitude ira d'abord à des disparus dont les recherches ont rendu possible ce travail, au premier rang desquels don Gunnar Mendoza, et qui m'ont donné généreusement des informations et des documents qui pouvaient m'aider, tout comme María Eugenia del Valle de Siles et Thierry Saignes.Ce livre doit aussi beaucoup au soutien de l'IFEA dont les directeurs successifs, et tout particulièrement Jean Vacher, ont soutenu mes projets, favorisé la publication de ce travail, et financé, en association avec le CREDAL et l'Université de Paris III, une part de la mission réalisée dans les Vallées avec mon collègue et ami Daniel Delaunay, en octobre 2002. Outre la collaboration aimable de certains de ses chercheurs, l'IRD m'a apporté son appui technique, et je lui dois le montage du film qui accompagne ce volume. L'Ambassade de France, qui s'est toujours montrée attentive aux travaux scientifiques menées en Bolivie, a permis la traduction de cet ouvrage en espagnol et m'a offert à plusieurs reprises la possibilité d'exposer le résultat de mes recherches. Que ces institutions et leurs représentants sachent que je n'aurais pu mener à bien sans leur aide ce cycle de recherches sur les guerres de guérilla. Des centres d'archives ont facilité mon travail, et une mention particulière doit être faite des directeurs des Archives nationales de Bolivie, don Gunnar Mendoza, dejà nommé, Josep Barnadas, René Arze et Marcela Inch, ainsi que des employés de ces archives et de celles des Cortès à Madrid. Des amis et collègues boliviens m'ont donné des indications utiles et suggéré des interprétations. Il a toujours été stimulant de travailler dans un pays où les historiens sont nombreux et de qualité.Sur le terrain, j'ai beaucoup appris des différents chercheurs que j'ai eu l'occasion d'accompagner dans les Andes, ainsi que des habitants des Vallées qui ont accepté de répondre à mes questions qui portaient aussi bien sur le souvenir de la guérilla que sur la culture de la pomme de terre.Enfin, bien que je ne sache comment qualifier cette dette, je dois beaucoup à José Santos Vargas.