Nuestro grupo de investigación, LCF, está interesado en abordar la temática de la realidad virtual bajos sus diferentes formas, como los videojuegos, la realidad aumentada, en la enseñanza de una lengua extranjera, pensando que podría ser la solución para nuestros estudiantes. En efecto, pueden abordar, en nuestro caso, el francés, desde la gamificación y, por tanto, desde la motivación. Además, tiene la ventaja de poder llevar el aprendizaje al terreno de la autonomía y, sobre todo, de la inmersión, concepto que nos parece primordial para alcanzar una adquisición de una lengua y que tenemos que definir en relación con nuestro objetivo. Después, nuestra investigación ha seguido su curso buscando las diferentes aplicaciones interactivas y analizándolas para observar en qué medida conllevan un beneficio para este aprendizaje y, en caso de que no fuera así, qué solución le podemos dar. Our research group, LCF, is interested in addressing the topic of virtual reality under its different forms, such as video games, augmented reality, in the teaching of a foreign language, thinking that it could be the solution for our students. Indeed, they can approach, in our case, French, from gamification and, therefore, from motivation. In addition, it has the advantage of being able to take learning to the field of autonomy and, above all, of immersion, a concept that seems essential to achieve a language acquisition and that we have to define in relation to our objective. Afterwards, our research has continued its course looking for the different interactive applications and analyzing them to observe to what extent they bring a benefit for this learning and, if not, what solution we can give it.
1. Ne connaissant pas la langue source (qui peut d'ailleurs être une autre langue, l'anglais, par exemple), nous ne pouvions nous fi er à ce corpus. 3 ce qui nous a permis de comparer des fréquences absolues d'une langue à l'autre. Dans un deuxième temps, nous avons fait appel à des locuteurs natifs pour vérifi er quels emplois de hacerse (en contexte), de loin le plus fréquent, pouvaient effectivement être traduits par se faire, pour aboutir à une analyse contrastive plus robuste, notamment au niveau des convergences.Au-delà de cet objectif purement descriptif, cette étude voudrait ré-pondre à deux questions d'ordre théorique. Tout d'abord le statut du pronom et, par corrélation, sa nature analysable ou inanalysable. En d'autres termes, il est nécessaire de s'interroger sur la réfl exivité ou l'intransitivité de la construction pronominale par rapport à la construction non pronominale:(3) je me lave [pronom réfl exif = COD] < je la lave (4) Il s'évanouit < *Il l'évanouit On peut observer que le pronom de apparaît comme un véritable pronom doté d'une fonction argumentale et référentielle, tandis que dans la forme réfl exive apparaît comme une composante du lexème verbal. La construction pronominale tend donc à s'autonomiser par rapport à la construction transitive. A fortiori, c'est le cas avec hacerse et se faire, qui tendent à constituer des verbes copules 4 inanalysables. En fi ligrane se pose la question de la lexicalisation et de la polysémie.En outre, un autre intérêt théorique est suscité par l'apparition d'emplois évidentiels. Ainsi, le Diccionario de uso español mentionne comme equivalent de 'parecer' le verbe hacerse (hacérsele a alguien cierta cosa), tout comme Porroche (1990:116
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Faire, c'est ne pas dire: Gaston Lagaffe et son entrée dans Spirou: approche pragmatique CLAUDE DUÉE Les débuts de la bande dessinée européenne et, plus précisément, de la BD franco-belge, sont liés aux périodiques et à l'existence de héros revenant toutes les semaines pour le plus grand bonheur des jeunes. L'un de ces journaux, Spirou, apparu en 1938, offrait aux lecteurs un personnage du même nom qui, par la suite, allait être accompagné de Fantasio, puis du comte de Champignac, du Marsupilami, et, enfin, de Gaston. L'arrivée de ce dernier constitue, pour ce journal, un pivot. Il va, petit à petit, s'imposer pour devenir un héros, puis le héros, se démarquant progressivement de ses compagnons. Ce qui, en soi, n'a rien d'étrange puisqu'un personnage comme Krazy Kat est également né de cette manière. D'autre part, son discours (ou son absence de discours) va constituer une continuelle transgression faisant basculer la relation classique texte/image à l'aube d'une révolution: mai 68. Tout est remis en cause: plus de scénario, plus de contenant, même les cases sont à réinventer. Nous sommes en 1957. Un contrat de lecture L'achat de Spirou procurait toujours une certaine effervescence chez les jeunes. Ils attendaient avec avidité la suite des aventures de leurs héros. Quelle était la raison de cette attente fébrile? Un contrat implicite avait été passé entre le lecteur et la revue. Dans le cas qui nous occupe, il s'agit de bande dessinée, destinée principalement aux enfants, avec des récits d'aventures ou des histoires humoristiques. Le type de personnes qui lit Spirou, ou ce type de revues, dans les années cinquante, est attaché aux valeurs traditionnelles comme la religion, le scoutisme, etc 1 . La revue doit donc transmettre à son lectorat, c'est-à-dire aux enfants et principalement aux garçons 2 , ce que la société de l'époque véhicule comme valeurs. C'est pourquoi on peut lire dans la rubrique « Le petit fureteur », par exemple, un article sur « Saint Nicolas » et le « Code d'honneur des lecteurs de Spirou » (Spirou 1957a). Ce lecteur va donc chercher chaque semaine, en connaissance de cause, sa revue afin de suivre les aventures de ses Semiotica
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