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Résumé La question de la parole est au centre de la prise en charge des « victimes » par les diverses modalités d’intervention modernes. Dans cet article, en partant du travail avec une patiente « incestée » les auteurs montrent en quoi la parole, quand elle n’est pas support d’une énonciation, rate l’effet attendu, celui d’une reconstruction du sujet.